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  2. Dépendances
  3. 9 - Les institutions résidentielles en crise: etat de la question

Moi, je paie mon natel avec ma carte de crédit
Olivier Amiguet
Le financement des traitements résidentiels
Bertrand Nussbaumer
Histoire et perspectives des institutions résidentielles
Michel Pluss
A qui s’adresse le secteur résidentiel alcool ?
Jaques-Antoine Gauthier
Le parcours résidentiel des personnes avec des problèmes d’addictions
Esther Dubath Bouvier
Alcoologie: regard de l’ambulatoire sur le résidentiel
Jean-Michel Clerc
QuaTheDa, un système de management de la qualité pour les institutions résidentielles drogues et alcool
René Stamm

Dépendances 9 - Les institutions résidentielles en crise: etat de la question

décembre 1999

Les institutions résidentielles pour personnes dépendantes sont en crise. Diminution du nombre de placements, changements dans le financement au point de risquer la faillite et la fermeture pour certaines d’entre elles.
D’aucuns dans le domaine des drogues illégales accusent le secteur réduction des risques de monopoliser lefinancement et les choix socio-politiques au détriment de l’abstinence. Malheureusement, il est fort probable que le problème ne se pose pas aussi simplement, en termes linéaires. En effet, nombre d’évolutions sont actuellement en cours dans le champ du financement du social, de la perception de la santé, des règles sociales et des choix fondamentaux de société. Sur la question de société d’abord: les valeurs qui ont eu cours jusque dans les années ’80 se modifient. L’individualisme, le «tout, tout de suite», le consumérisme et le « self service» des idéologies ne poussent pas vers des choix de prise en charge lourdes, longues et résidentielles.

Au sujet du financement ensuite: le new public management, la recherche d’économies dans les secteurs de la santé et du social obligent les institutions à une révision de leurs coûts et, partant, de leur approche psychopédagogique. Dans le même temps, la répartition des charges Confédération-Cantons incite à reprendre le dossier du financement de fond en comble. Qui doit payer les charges des problèmes dus aux dépendances et de la prévention ? Par ailleurs, le type de prestations spécifiques qu’offrent les institutions résidentielles doit être mieux défini.

L’ensemble de ces questions se pose tant au niveau des résidentiels pour personnes alcooliques que pour personnes dépendantes des drogues illégales, même si l’histoire et le financement des unes et des autres sont différents. C’est la raison pour laquelle les textes que nous vous proposons abordent les thèmes aussi bien à travers la lunette de l ‘alcoologie que de celle des drogues illégales, une manière de tenter de se questionner sur le problème plus que sur le produit.

Dans ce numéro, nous tentons donc un panorama des différents problèmes en amenant quelques pistes de solutions qui passent sans aucun doute par une sérieuse réflexion sur les valeurs, l’éthique et la qualité des prestations offertes par les institutions résidentielles. Cela n’empêchera nullement de pousser le monde politique à mieux définir les problèmes que peuvent poser les addictions dans notre société et de définir clairement quels montants doivent être alloués pour le traitement de ces problèmes et qui doit les prendre en charge. A nous, travailleurs sociaux, de nous arranger pour analyser ces problèmes dans leur évolution médico- psycho-sociale, les exprimer et amener des propositions concrètes.

Nous profitons de cet éditorial du dernier numéro de l’année pour vous donner quelques informations sur votre revue: le nombre d’abonnés est stable – un peu plus de 400 qui s’ajoutent aux 280 membres du GREAT Cette année, la revue à été envoyée aux institutions pour enfants et adolescents qui participent au projet de prévention « Fil rouge» – un peu plus de 300 exemplaires. Les éditeurs de «dépendances» ont décidé, avec la Commission de rédaction, de poursuivre, sur les mêmes bases, la publication de la revue. Nous espérons que vous, lecteurs, trouvez votre compte et nous vous remercions de votrefidélité.

Gérald Progin (secrétaire général du GREAT)

Les institutions résidentielles en crise: état de la question
août 2024

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