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5. La dépendance de la cocaïne chez les personnes insérées socialement

01 Décembre 2002  

Cédric D'Epagnier, psychologue-spécialiste en psychothérapie FSP

Eva Sekera, médecin-responsable, Unité des maladies de la dépendance, Clinique la Métairie, Nyon

Michel Zwahlen, conseiller en addictions

01.12.2002

On entend de plus en plus parler des ravages de la cocaïne chez les populations devenues marginales qui s’injectent ce produit à la place de l’héroïne (ou en combinant les deux). Pendant longtemps pourtant, la cocaïne était considérée comme la drogue des riches, des milieux branchés et des travailleurs stressés. Nous pensons que cette catégorie d’utilisateurs de cocaïne existe toujours, parallèlement aux marginaux précités (et peut-être qu’une partie des consommateurs insérés socialement se dégraderont au point de faire partie de cette population dévastée). 

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Auteur(s)
Cédric D'Epagnier, psychologue-spécialiste en psychothérapie FSPEva Sekera, médecin-responsable, Unité des maladies de la dépendance, Clinique la Métairie, NyonMichel Zwahlen, conseiller en addictions
Publication Dépendance (Si applicable)