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  4. Objectif Grandir: de la controverse d’une méthode pédagogique à la réduction d’un concept de prévention

Un fil d’Ariane ou des ailes de Dédale pour sortir su labyrinthe des définition en rapport avec la santé
Jean-Daniel Boegli
La promotion de la santé selon la Charte d’Ottawa: une approche applicable en Suisse?
Mary-José Burnier (IUED/ IMSP, Genève), Maïthé Busslinger (RADIX-Promotion de la santé, Lausanne) et Christophe Dunand (Association Réalise/ IUED, Genève)
Vous avez dit prévention secondaire?
Pierre-Alain Porchet (Drop-In, Neuchâtel)
Peut-on rire de l’alcoolisme?
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Prévention et politique: un couple indissociable
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Panorama des outils de prévention
Guylaine Dubois (LVT, Sion)
Objectif Grandir: de la controverse d’une méthode pédagogique à la réduction d’un concept de prévention
Jacques Challandes (service médico-social de Neuchâtel)

Dépendances 6 - La prévention : d’une définition à un choix de société: Objectif Grandir: de la controverse d’une méthode pédagogique à la réduction d’un concept de prévention

décembre 1998

Objectif Grandir: de la controverse d’une méthode pédagogique à la réduction d’un concept de prévention

Jacques Challandes (service médico-social de Neuchâtel)

Plutôt que de répondre unilatéralement aux questions soulevées par le programme « Objectif Grandir » (OG) en Suisse romande, Jacques Challandes, à la suite d’une journée de travail du Groupe Prévention du GREAT (GPG), le 8 septembre 1998, retransmet ici quelques impressions générales quant à l’incidence de la polémique qui s’est développée autour de ce moyen de prévention.(réd.)

Le groupe de prévention du GREAT a réuni plusieurs invités, spécialistes et praticiens des programmes de prévention et d’éducation pour la santé en milieu scolaire, pour faire le point sur la situation actuelle en la matière. Plusieurs questions débattues restent encore ouvertes; elles baliseront le chemin du lecteur.

Mais encore:

  • Comment faire pour établir ou rétablir un crédit moral et scientifique ainsi que l’implantation progressive de programmes d’éducation pour la santé et de prévention en milieu scolaire?

  • Quelles leçons doit-on tirer de « l’affaire Objectif Grandir »?

  • Au travers des critiques à l’égard d’OG, c’est la prévention primaire qui se trouve remise en question, ne plus/pas toucher aux émotions, repérer les situations difficiles et les transmettre aux spécialistes, n’est-ce pas là ce qui se pratique déjà? Où sont les limites de compétences?

  • Si le cercle magique, lieu d’écoute et de parole, est un tremplin aux secrets et confidences familiales, faut-il réellement confiner cette pratique ou d’autres à la seule dimension du vécu scolaire? Est-ce réaliste?

Nous sommes bien peu nombreux à pouvoir répondre à ces questions. Pour aller dans ce sens et concernant l’objet du scandale, soit Objectif Grandir, il s’agit d’évaluer dans quelle mesure cette polémique vise un outil pédagogique précis ou les approches préventives préconisées aujourd’hui. Quelles conséquences peuvent avoir ces critiques parfois très dures sur le développement des activités de prévention? Il est difficile pour l’instant d’en connaître les répercussions. Une prise de position des spécialistes de la prévention, sous la forme d’une résolution s’imposait. Elle est à disposition du lecteur qui peut l’obtenir au GREAT.

Le programme Objectif Grandir

L’implantation et le développement de programmes d’éducation pour la santé du type « life skills » sont apparus dans les années 60-70 dans les pays Anglo-Saxons. Ils sont adaptés et développés dans notre pays à la fin des années 80, début 1990. Afin de leur garantir une bonne implantation culturelle, ces programmes nécessitèrent et nécessitent des aménagements réguliers. Au plan de leur conception, ces programmes comportent une pédagogie circulaire, un développement prévu sur le moyen et long terme ainsi qu’une mise en pratique assurée par un animateur, un enseignant scolaire ou intervenant spécialisé, le plus souvent.

Objectif Grandir est implanté au Jura en 1993 suite au mandat attribué par le canton à Mandat Plus prévention et Daniel Pellaux. Dans le canton du Jura, OG est intégré dans le cadre de l’EGS, l’Éducation Générale et Sociale (soit lh hebdomadaire d’éducation pour la santé du degré 1 à 9, intégrée dans le programme scolaire de base). D’autres programmes semblables sont déjà implantés dans les écoles romandes (Transformation, Prodas, Clefs pour l’adolescence).

TACADE est le nom, de l’Organisation non gouvernementale britannique qui a conçu une partie du programme Objectif Grandir. À l’origine, ce programme est destiné aux praticiens: les enseignants, les Offices médico-pédagogiques, les intervenants en prévention. Les objectifs du programme peuvent se résumer en trois axes:

  • faire face au quotidien

  • participer à la promotion de la santé

  • favoriser le partenariat entre l’école et la famille.

Ces objectifs visent au développement et à l’acquisition des compétences ou habiletés sociales chez les enfants de 6 à 12 ans. Plusieurs études soulignent le rôle protecteur des contenus acquis par les jeunes. Les objectifs d’OG et ses résultats s’inscrivent parfaitement dans les orientations prévues par plusieurs organisations reconnues et officielles comme l’OMS. Ces orientations consistent à:

  • un développement du programme à long terme

  • une formation des partenaires aux compétences sociales

  • l’adéquation du programme par rapport au développement de l’enfant

  • au développement du partenariat entre l’école et la famille (rôles)

  • un degré élevé d’attractivité et de reproductibilité de la démarche

  • l’offre d’alternative pédagogique du type approche par les pairs.

Selon le point de vue de l’UNICEF, les programmes de type « life skills » sont prometteurs et ont un bel avenir.

En Suisse romande, la formation est suivie sur la base d’une démarche libre et volontaire avec un financement par les Lyon’s clubs via les communes. Des répondants, enseignants la plupart du temps, sont responsables du programme et référents OG dans leur établissement scolaire. En Valais, la formation a été dispensée aux formateurs (intervenants en prévention et promotion de la santé) puis, dans un second temps, ceux-ci ont eux-mêmes formé les enseignants. Dans le canton de Neuchâtel, la formation OG est organisée dans le cadre du Centre de perfectionnement du corps enseignant et de la formation continue.

Situation actuelle

Il règne actuellement une forte émotionnalité autour du programme OG et un haut degré de politisation. Dans le canton de Vaud, la situation paraît bloquée 1). La commission d’étude mise sur pied par le Conseil d’Etat vaudois et deux groupes de travail ont produit plusieurs rapports contradictoires, tantôt favorables puis défavorables au programme. Un troisième rapport délivré par le CVRP – Centre vaudois de recherche pédagogique – restitue une analyse de terrain accomplie dans les classes, auprès des parents, d’enseignants et de directeurs d’établissements. Les conclusions de ce dernier rapport sont nuancées. Signalons encore que plusieurs rapports d’évaluation sont disponibles, notamment, « Des mots pour prévenir« , évaluation de la mise en œuvre du programme OG dans les cantons de Vaud et du Jura, par Anne Dentan et Isabelle Girod, 1995 et « L’introduction du programme d’Éducation Générale et Promotion de la Santé (EGPS) dans les écoles publiques du Valais« , par Anne Dentan, Gaby Jentsch-Volken, Catherine Parplan, 1996.

Contextes et développement

Vaud

Début 1993, c’est l’implantation d’OG en terre vaudoise, la démarche de l’éducation à la santé s’amplifie. La maquette d’OG séduit totalement les enseignants et ce programme est jugé nécessaire. Une demande avérée du corps enseignant pour ce genre de programme renforce l’adhésion autour d’OG. Car il y a là une approche d’éducation pour la santé intéressante, dotée d’une pédagogie circulaire comprenant plusieurs outils et techniques de groupe. Près de 70% du corps enseignant de certains établissements scolaires vaudois ont suivi la formation OG. Bien peu de questions et de problèmes sont apparus et ont été signalés, tant de la part des parents que d’autres milieux de praticiens de la prévention.

Les membres des groupes de travail OG ont remis en janvier 1998, un rapport plutôt positif au Conseiller d’Etat Jean-Jacques Schwaab, alors Chef du Département de l’instruction publique. Les constatations suivantes sont signalées suite à l’application du programme dans les écoles vaudoises:

  • une réduction de la violence dans les établissements,

  • une meilleure communication,

  • un climat favorable et une sécurité améliorée,

  • une facilitation de l’expression des élèves.

Valais

En Valais, le programme OG est bloqué 2). Il y a eu amalgame avec d’autres objets politiques comme ÉEducation 2000, Éduquer ou instruire… Une redéfinition des missions de l’école est en cours; l’école doit-elle instruire seulement ou éduquer et instruire? La question risque de rester longtemps ouverte. Un moratoire quant à l’utilisation et la formation OG prévaut actuellement. Un mandat d’évaluation a été attribué à l’Institut de pédagogie curative de l’Université de Fribourg. Les résultats sont attendus pour novembre 1998.

Jura et Neuchâtel

Il n’y a pas eu de soubresauts et de remous autour d’OG dans le canton du Jura. Pourquoi cela? Il semble qu’ici, les autorités politiques ont su calmer le jeu propice à la polémique. Il en a été de même dans le canton de Neuchâtel. L’exemple des autorités neuchâteloises et jurassiennes qui rassurent, contiennent, affirment et ainsi limitent la polémique, souligne la solidité du cadrage politique. Les liens existant entre les législations scolaires et les programmes de prévention globale tels qu’OG via l’EGS servent également d’arguments utiles face aux polémiques et légitiment aussi la mission éducative de l’école en collaboration avec ses partenaires, les parents. Par leur contenu, les législations scolaires autorisent et garantissent un cadre propice au développement de l’Éducation pour la santé.

Citons, non littéralement, quelques éléments résumés de la législation scolaire jurassienne:

  • le partenariat école – famille (intégration dès le départ des associations de parents d’élèves dans le groupe de conception de l’EGS)

  • la réduction de la ségrégation, des clivages

  • les droits et devoirs de l’élève: « développer la tolérance, le respect, la fraternité, le civisme, … »

Ces références et éléments fondateurs permirent l’introduction de l’EGS au Jura, ce qui correspond actuellement à 1h hebdomadaire d’éducation pour la santé du degré 1-9.

Les thèmes de l’EGS ont donc largement bénéficié des contenus du programme OG tels que:

  • une image de soi positive, identité

  • moi, (émotion, estime de soi, confiance en soi)

  • moi et autrui (communication, relations interpersonnelles)

  • moi et l’environnement (règles de vie, normes, civisme, lois et législation).

Dès le départ de l’EGS, la demande et l’intérêt pour le cercle d’écoute fut manifeste. Concernant la formation des enseignants, ce qui a été apprécié c’est la pédagogie par isomorphisme, qui permet de mieux cerner l’impact des matières. C’est-à-dire une démarche d’apprentissage et d’appropriation de la méthode en étant soi-même le dispensateur et le destinataire de chaque séquence du programme (apprentissage intégré par les enseignants, des processus et perceptions destinés aux élèves). La formation de base est assurée durant le temps des vacances, la formation continue assure le suivi dans le cadre horaire scolaire.

Rumeur et polémique

Pour l’essentiel, et du dehors, la polémique au sujet d’OG tournerait autour de l’idéologie perçue dans ce programme, sa conception, sa provenance; la scientologie et Objectif Grandir seraient en liens et l’un comme l’autre rechercheraient à séparer l’enfant de sa famille. Ces craintes se trouvent dissipées pour qui découvre les contenus des mallettes OG et exploite les éléments du programme! 3

L’aspect intrusif dans le domaine intrapsychique de l’enfant paraît poser problème. Sur ce point, il demeure toujours difficile de démontrer que l’intrapsychique, comme l’histoire familiale et extrascolaire de l’enfant, ne sont pas sollicités au sein de l’école en dehors d’une pratique réglée comme le cercle d’écoute. Qu’advient-il du climat scolaire et de l’intrapsychique des enfants lorsqu’aucune démarche éducative de ce genre n’est développée dans un établissement?

Quelques hypothèses

Pour mieux comprendre, développons quelques hypothèses, qui d’ailleurs ont été formulées lors de la journée du 23 septembre. Nous en retenons principalement trois qu’il nous faudra bien sûr approfondir et combiner:

  • Le temps nécessaire à une bonne appropriation de ce programme par les enseignants suisses romands est encore trop court pour solidifier cette démarche de promotion de la santé; ainsi, faire face aux critiques émises, est plus difficile. Il faut 6-10 ans pour rendre pleinement opérationnelle et affirmer une pratique de ce genre, au plan institutionnel. Il est alors facile de déstabiliser l’édifice préventif surtout au sein d’une école en perpétuelle mutation. Les enjeux électoralistes et politiques ont joué de leur poids dans cette affaire-là.

  • Objectif Grandir, comme bien d’autres programmes, constitue une passerelle particulièrement utile aux intervenants spécialisés de la prévention et de la promotion de la santé. Ils peuvent ainsi établir des liens favorables entre l’école, les institutions parascolaires et la famille. La phase actuelle d’appropriation des programmes par les enseignants est encore fraîche; actuellement, le partenariat avec la famille est plus que mesuré. Dans ce contexte, toute polémique fait surgir des peurs de « morcellement » du pouvoir éducatif traditionnellement dévolu à la famille. Cette concurrentialité est reprise avec vigueur par les mouvements fondamentalistes et autres intégristes, qui voient d’un mauvais œil la réorganisation des missions scolaires et parentales en matière d’éducation à la santé.

  • L’utilisation et le développement des « life skills » au sein des écoles romandes révèlent plus les difficultés intrinsèques de l’institution scolaire, qui peine à concilier ses missions nouvelles. L’école est iatrogène, comme toutes les structures d’envergure; elle ne diffère pas en ce sens de la société ambiante. L’école est tentée et tente de développer ces programmes afin de se « soigner », de réduire divers effets pervers (anomie et exigences scolaires, masse des programmes, etc.). Les élèves, principaux bénéficiaires du programme, risquent alors de se voir privés d’activités de ce genre, pourtant formatives. Le risque d’appropriation négative et détournement de l’outil OG par/pour les adultes, afin de régler leurs difficultés pédagogiques, idéologiques, corporatistes comme politiques, est majeur.

Les points faibles

  • Jusqu’à aujourd’hui, la formation OG a été assurée auprès de mille six cents enseignants romands, dans et hors du programme scolaire de base. Une bonne partie des enseignants a bénéficié d’une formation relativement intégrée à l’horaire. Cette dernière relativité reste problématique et rend malaisée l’acceptation du cadre de la formation (temps de formation pris sur les vacances ou sur le temps de travail?).

  • Il y a un manque de formation relatif à l’animation des rencontres de parents. Des peurs de part et d’autre font manifestement obstacle à l’échange et posent problème. L’utilisation d’autres scénarii afin d’animer et rencontrer les parents reste à développer.

  • Les personnes formées sont parfois fragiles et peuvent être « désignées » implicitement par leur entourage scolaire en fonction de leurs difficultés rencontrées avec les élèves.

  • La démarche de formation est difficile à contrôler car elle passe par les départements de l’instruction publique qui semblent assez éloignés des réalités vécues par les praticiens.

  • Il y a globalement un manque d’information auprès des parents. Le contexte actuel stigmatise les intégrismes de tout bord et stimule la chasse aux sectes. Les peurs et les craintes qui alimentent ces rumeurs rendent délicate la description des conceptions de l’éducation pour la santé. Une mauvaise compréhension de l’intention contenue dans OG de la part des parents est apparue; les parents sont pourtant sollicités dans cette démarche et non exclus! Les Associations de parents d’élèves restent plutôt favorables à l’implantation et au développement du programme. Les opposants sont souvent des non-adhérents des APE. Il y a des peurs liées à un regard « fondamentaliste » sur l’éducation à la santé et les approches de ce genre à l’école.

Perspectives

  • Une réécriture du programme, tous les 4-5 ans est prévue par les promoteurs afin d’éviter les dérives. Faudra-t-il renommer la démarche Objectif Grandir, afin d’en conserver l’essentiel, notamment les acquisitions pédagogiques?

  • Le partenariat et la collaboration avec les parents sont à redéfinir et à aborder autrement. En effet, un programme de ce type est vécu comme intrusif s’il n’y a pas de concertation au départ avec les parents. Un suivi concerté avec les APE paraît indispensable.

  • La mise en place d’un conseil scientifique permanent réunissant divers milieux tels que des pédagogues, des chercheurs, des parents membres des APE, des philosophes, des directions d’écoles, des politiques et des pédiatres, reste à prévoir. Ceci aura pour effet de rendre plus crédible et de légitimer le programme auprès de la population en général.

  • Il s’agira aussi de mieux situer la position forte des politiques et ses contextes. Car une réponse politique trop faible rend difficile la gestion du mécontentement et des critiques. Mais nul responsable politique n’est à l’abri d’un coup monté ou d’une tentative de déstabilisation; les arguments d’alors peuvent resservir.

  • Une approche stratégique des médias et des journalistes est aussi nécessaire. Il s’agit aussi d’améliorer la description et l’information relative à l’éducation pour la santé en général et les programmes de prévention/promotion de la santé en particulier.

  • Faire des liens et densifier la notion de « droits de l’enfant », dans notre culture romande, n’est pas chose si courante. Il faut remédier à ces manques et rendre publiques ces références fondamentales et universelles. Il faut s’occuper à faire vivre ses droits au même titre que le droit à une place d’étude, d’apprentissage, à un travail, une formation.

Conclusions

On le voit, cette courte description n’exprime pas nécessairement une revendication très chargée. La résolution du GPG, quant à elle, souligne la préoccupation de plusieurs professionnels qui s’estiment touchés par cette polémique. La prise en considération des critiques autour d’OG indique aussi que les professionnels que nous sommes, doivent affirmer leur volonté de préserver des conditions de pratique préventive et de promotion de la santé de qualité au sein de l’institution scolaire. Le temps des séquences préventives « coups de poing » est révolu, la pratique des thèmes de santé uniquement sous un angle réservé (approche classique, médico-psychologique et sans l’aide du tiers enseignant) serait un retour en arrière!

6_7_Objectif-Grandir-de-la-controverse-dune-methode-pedagogique-a-la-reduction-dun-concept-de-prevention_Challandes_Dependances_1998.pdf
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  1. Mme Francine Jeanprêtre, Conseillère d’Etat en charge du Département de la Formation et de la Jeunesse, a pris position sur ce dossier le 6 novembre 1998, en interrompant les formations OG et en définissant des conditions à la poursuite de son application par les maîtres déjà formés. (réd.[↑]
  2. En date du 20 novembre, le Conseil d’Etat valaisan décidait d’interrompre la pratique d’OG dans les écoles du canton (réd.[↑]
  3. Pour plus d’informations sur le programme: Mandat Plus Promotion, Vevey[↑]

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