Fruit d’une réflexion approfondie, le nouveau concept complète et enrichit celui d'ETP défini alors en 1998 par l'OMS comme un « processus d'apprentissage systémique, centré sur le patient ». L'objectif visé est d’instaurer un partenariat et un rapport d’égalité pour l'ensemble des actrices et acteurs concerné·e·s ou œuvrant dans le domaine des maladies non transmissibles, psychiques et des addictions : professionnel·le·s, pair·e·s, personnes concernées et proches.
De manière générale, ce concept désigne les actions entreprises par ces protagonistes « pour renforcer les compétences d’autogestion et les ressources des personnes atteintes de maladies de longue durée et de leurs proches ». Il se base sur plusieurs principes fondamentaux étroitement liés :
Le GREA salue ce type de concept qui vise à octroyer un rôle et une place centrale aux personnes concernées dont la parole est trop souvent reléguée au second plan.