Pour l'agence française, le vapotage constitue un outil d’aide. Les vendeurs et professionnels de soins doivent être mieux formés.
L’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie précise dans sa prise de position à l'occasion du "mois sans tabac" français:
La cigarette électronique peut constituer, dans un objectif d’arrêt du tabac, un outil de substitution parmi les autres dispositifs existants.
Il faut davantage communiquer sur l’objectif, à savoir un arrêt total de l’usage du tabac. La consommation concomitante de tabac et de cigarette électronique prédomine : 75 % des utilisateurs de cigarette électronique sont des fumeurs réguliers.
Les vendeurs de cigarettes électroniques, comme les professionnels de soin, doivent être formés sur l’usage de cet outil.
Afin de ne pas conduire à une « renormalisation » de l’acte de fumer, le vapotage doit être interdit dans les lieux à usage collectif, la publicité doit être interdite.
Il est nécessaire de poursuivre les études scientifiques afin de préciser le rapport bénéfice/risque du vapotage, sans pour autant différer son utilisation.