Selon les données disponibles, un quart des enfants et adolescents présentant un trouble du déficit de l'attention se voit prescrire un médicament contenant du méthylphénidate. Cela correspond aux recommandations thérapeutiques qui stipulent qu'une médication n'est indiquée que chez une partie des patients. Il n'est donc pas nécessaire de réglementer davantage ce domaine, déjà soumis à la loi sur les produits thérapeutiques et à la loi sur les stupéfiants.
Le Conseil fédéral demande toutefois à l'Office fédéral de la santé publique de continuer à surveiller la prescription de ce genre de médicaments et d'annoncer d'éventuelles mesures à prendre, le cas échéant.