Face à l'OMS, le GREA reste convaincu de l'efficacité du vapotage
Le GREA reste un défenseur du vapotage malgré ce qu'en dit l'OMS, voir à ce sujet le Dossier Vapotage du GREA. Vouloir comparer la combustion et la vapeur est une aberration et l'efficacité de la deuxième option n'est plus à faire. "C'est comme comparer un pistolet à bouchon et un canon de marine" s'exclame le Professeur Gérard Dubois au CHU d'Amiens (F) et président d'honneur de l'Alliance contre le tabac sur BFM TV . "C'est un message faux pour nous (....) et une erreur de communication invraisemblable" de la part de l'OMS.
En Suisse, plusieurs tabacologues conseillent le vapotage aux fumeurs désirant réduire les risques ou arrêter la combustion. Les usagers qui ont fait le choix de la vaporette disent avoir vu des changements positifs de leur santé. La législation suisse est en train de changer pour les intégrer dans une loi tout en restreignant la publicité et interdisant la vente aux mineurs, ce qui est cohérent.
Le Professeur Jacques Cornuz dirige la PMU du CHUV. Il continuera à proposer la vaporette aux fumeurs.
L’OMS reste très ambivalente sur le vapotage. Si elle prend position le 26 juillet 2019 dans un rapport (page 57), dans lequel elle recommande de le réguler comme étant nocif pour la santé, elle reconnaît pourtant que les preuves disponibles sur sa nocivité ne "sont pas concluantes" et que vapoter expose les usagers à moins de substances toxiques que ceux fumant des cigarettes conventionnelles.