Cette révision permet d'éviter la prison à des personnes accusées de “consommation de stupéfiants.” Le texte a été adopté par 133 élus sur 140.
La Loi 52 a été amendée en attendant une révision plus globale sur le problème des drogues en Tunisie et qui comprend le côté santé, le coté préventif et le coté aussi dissuasif.