Des groupes criminels agissent d’une part en parallèle sur plusieurs marchés de stupéfiants et, d’autre part, on y observe des activités de troc, c’est-à-dire que des personnes de Suisse se procurent de la cocaïne auprès d’Africains de l’ouest et ne la paient pas avec de l’argent mais avec de la marihuana qu’ils produisent eux-mêmes. Plus d'informations dans le document joint.