Le Conseil des Etats aborde le 24 novembre en deuxième lecture la révision totale de la loi sur l’alcool. Les organisations des addictions demandent des mesures durables et simples comme l’introduction d’un prix minimum ou la restriction des heures de vente.
Ces mesures tendent à juguler les abus d’alcool, à protéger la santé des individus et à éviter les issues tragiques que l’on sait. En aucun cas, cette loi ne doit sacrifier la prévention sur l’autel des allègements fiscaux.