La matinée a débuté par une intervention de Maxime Melina (GREA) sur les liens entre formation, PF TSHM et consommations. Les échanges ont souligné l’importance d’une approche centrée sur les usages et les consommations plutôt que sur l’addiction, plus en phase avec les réalités du terrain des professionnel·le·s du travail social, ainsi que les défis liés à la médiation sociale, au regard du public et aux situations impliquant des jeunes.
La suite de la journée a permis d’aborder les perspectives de formation avec Laurent Wicht (site TSHM.ch), avant des retours de pratiques autour du TSP Ouest et du projet Phoenix pour des jeunes en décrochage sévère. Les discussions se sont conclues sur la coordination de la plateforme, son financement et les perspectives pour 2026, en réaffirmant la PF TSHM comme un espace d’intervision central pour le métier.
Un focus spécifique a été consacré au protoxyde d’azote (« gaz hilarant »), dont l’usage croissant sur le terrain questionne les équipes. Les risques pour la santé et les messages de réduction des risques adaptés au hors murs ont été présentés, avec un support de présentation mis à disposition comme ressource par la Fondation AACT.
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