L'annexe 3.2 est particulièrement intéressante. Une étude sur les personnes qui s'injectent des drogues a sondé l'expérience de 32 participants dans le cadre de la prévention du HIV, de la réduction des risques, des soins ainsi que dans la distribution de naloxone. Il ressort notamment que les antirétroviraux pour la prévention du HIV ne sont pas une solution acceptable, ni nécessaire et difficilement praticable. Les participants déclarent en revanche que la distribution de naloxone est absolument prioritaire et devrait être immédiatement à disposition des usagers qui s'injectent des drogues, de leurs pairs et de leurs familles.