L'une des recommandations de la première phase demandait à adapter le programme afin de toucher le public à risque non dépendant (consommations de 12 à 35 unités standard par semaine).
C'est sur quoi porte la deuxième étude, ci-jointe. Elle concerne le suivi de 37 personnes, sur 66 concernées au départ. La faible participation constitue l'une des limites du rapport. Toutefois, l'étude permet de suivre l'évolution de la consommation, donne des informations sur l'âge moyen (la tranche la plus représentée va de 35 à 55 ans) et sur le genre, ainsi que sur les perspectives.
Ce qui est intéressant, c'est que les objectifs d'abstinence ne semblent pas particulièrement lié à un type de consommation initiale particulier. Ils sont ainsi répartis entre les "petits" et "gros" consommateurs. La motivation constitue le point d'accroche au programme. Au final, les personnes suivies ont vu leur consommation baisser de 55% en moyenne.
En Suisse, Alchochoix+ est devenu MesChoix. Il se décline pour l'alcool et le cannabis, et récemment pour le jeu. Des formations sont proposées par le GREA.